Hors-cadre
Les grands farfelus français.
(Avis au lecteur : le livre dont il va être question ci dessous est un livre que je n'ai pas lu , et que je ne lirai peut-être jamais mais dont le titre m'a donné envie de (re-)découvrir ces grands farfelus, oubliés de l'Histoire qui pourtant, nous en disent plus que les personnages officiels sur ce qu'il en est de nous . Et puis aussi parce que chaque fois que j'entends un auteur parler de son livre j'ai envie de l'acheter et que souvent je n'aime pas le livre ;Qu'on se le dise!)
La pétillante Kriss crumble recevait hier dans son émission Hubert Delobette pour la présentation de son nouveau livre " Les plus grands farfelus français " . L'auteur y dresse 25 portraits de personnages hauts en couleurs , dont les ambitions ont été souvent moquées , toujours incomprises; bref des hommes et des femmes qui dérangent parce que différents*. Des hommes simples (boulanger, notaire,...) auxquels l'Histoire ne fait pas la place qu'ils méritent.
Le mot farfelu vient d'un mot grec qui voulait dire " dodu" .
On doit sa signification actuelle à André Malraux qui l'a associé au mot bizarre, excentrique.
Un farfelu c'est quelqu'un en dehors du système , un être décalé par rapport aux valeurs de son époque .
Il en est ainsi de Ferdinand Lop, candidat perpétuel aux candidats législatives ( ndlr A t-il inspiré l'histoire d'un autre mec nommé Coluche ?)
Pourquoi Antoine de Tounens , ce notaire de Périgueux a t-il passé sa vie à vouloir devenir le roi de Patagonie ? Comment le facteur Cheval s'est-il mis en tête de bâtir un palais, avec les cailloux ramassés dans sa tournée ? Comment Joseph Pujol ce boulanger provençal a-t-il fait fortune en jouant la Marseillaise avec la partie la plus intime de son anatomie ? Ou encore les aventures rocambolesques d'un Président Deschanel grimpant aux arbres de l’Elysée, tombant en pleine nuit par la fenêtre d'un train,ou encore glissant dans le bassin des carpes à Rambouillet,
Mamz'Elle
le 06.10.08 à 11:22
dans C'est mon héros
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Commentaires
j'espère qu'il y a un petit mot pour Mouna Aguigui, qui dans les années 70 fut le digne héritier de Ferdinand Lop, reprenant sa belle revendication de prolonger le boulevard saint michel jusqu'à la mer pour faciliter les vacances des étudiants.
mossieur resse - 06.10.08 à 17:35 - # - Répondre -
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En tout cas voila qui est fait grâce à vous:
Mouna Aguigui était une manif à lui tout seul disait cabu
(dessin Cabu)
MamzElle - 07.10.08 à 06:13 - # - Répondre -